lundi 21 décembre 2015

Stage photo culinaire

Le studio NR Photo, situé à Cré@Vallée Sud, près de Périgueux (Dordogne), proposait un stage de photo culinaire, samedi 19 décembre. J’ai eu la chance de pouvoir y participer.
Avis aux amateurs de photo culinaire, aux blogueurs et journalistes culinaires !


Pourquoi participer à un stage de photo culinaire ?

Amateur de photographie, j’aime aussi la bonne cuisine. Et j’ai la fâcheuse habitude, comme peut-être certains d’entre vous, de photographier mes réalisations, plus ou moins bien réussies. De même, lorsque je mange dans un bon restaurant, j’admire souvent la présentation dans mon assiette avant de déguster. Je ne résiste pas non plus aux belles images illustrant les livres de cuisine.
Mais voilà, mon smartphone s’avère bien décevant quand il s’agit de révéler la beauté de ce que j’ai le plaisir de manger, surtout quand c’est bon ! Et quoi de mieux que de travailler avec un grand chef ? Philippe Mesuron, Top 8 de Master Chef édition 2010, était notre mentor pour l’art du dressage.


Déroulement du stage de photo culinaire


Nicolas Ravinaud et Charlotte Laveau du studio NR Photo ont accueilli les stagiaires dès 10H, pendant que Philippe Mesuron s’affairait à la préparation des ingrédients.
Au programme, trois shootings différents : une nature morte, un plat, un dessert ; et trois approches : la vue de face, la vue de dessus et la vue du consommateur.


La photo de nature morte culinaire


Nous étions quatre stagiaires : deux amateurs et deux semi-professionnels, venus parfois de loin. Nous avons d’abord travaillé à la mise en place de la nature morte : éclairage, cadrage, composition de l’image. Il nous a d'ailleurs été difficile de composer cette image : quelle distance entre les éléments ? Et quelle distance de l’objectif ? Quels éléments mettre en valeur ? Image surchargée ou épurée ? Autant de questions auxquelles il nous a fallu répondre, aidés de Nicolas.

La photo du plat 


Philippe a choisi de préparer pour nous des cuisses et filets de caille accompagnés de potimarron, topinambours et brocolis, des produits locaux et de saison. Les stagiaires ont été répartis en deux groupes : nous avons aidé Philippe au dressage de l’assiette : lui sur assiette blanche, nous sur une ardoise. L’idée était de travailler ensuite sur fond blanc puis sur fond plus sombre. L’autre groupe préparait l’éclairage avec Nicolas, le photographe.


Le dessert


Après une pause où nous avons dégusté le plat, Philippe nous a proposé de préparer une poire au sirop poivré, accompagnée de chocolat et d’un caramel au poivre et aux graines. Très original ce mélange sucré / poivré !
Les stagiaires ont de nouveau été répartis en deux groupes et nous sommes passés du dressage à la partie mise en place de l’éclairage. Nous avons beaucoup joué avec des réflecteurs et des miroirs pour créer ou atténuer des ombres et lumières. Avant la dégustation tant attendue !


Quelques astuces du stage de photo culinaire


Pour la partie culinaire, Philippe nous a conseillé de ne pas trop faire cuire les légumes afin de conserver leur couleur. Ensuite, au moment du shooting, il passe, sur chaque élément du plat, un peu d’huile de noisette pour donner de la brillance. Attention aux petits « trous » qui laissent voir l’assiette entre les éléments : en vue de dessus, ça ne pardonne pas ! Les poires ont été pochées dans un sirop auquel il a ajouté un peu de citron pour que les fruits ne noircissent pas.
Pour la partie photographique, Nicolas nous a montré comment sublimer certains éléments d’une assiette à l’aide de réflecteurs, de petits miroirs ou d’une simple carafe avec plus ou moins d’eau dedans : l’idée est de créer des ombres et des lumières pour combler les espaces trop vides ou pour valoriser le produit principal de l’assiette.

L'assiette dressée par Philippe : jeux de lumière avec un réflecteur.

D'autres images du stage de photo culinaire


Pour vous donner envie de sublimer vos photos et vos créations culinaires, voici le résultat de notre travail sur la journée.

L'assiette dressée par les stagiaires








mardi 1 décembre 2015

JJ Abrams signe le 7ème épisode de Star Wars : Le Réveil de la force.

A l’occasion de la sortie en salle du nouveau Star Wars épisode 7, focus sur le réalisateur JJ Abrams.





Jeffrey Jacob Abrams, dit JJ Abrams, est un scénariste, réalisateur et producteur américain révélé notamment à travers les séries Alias ou Lost : Les Disparus. Il est connu depuis pour ses films d’action et de science-fiction : Armageddon, Missions impossible 3, Super 8 ou Star Trek et Star Trek into darkness. Admirateur de Steven Spielberg depuis son plus jeune âge, son travail est très imprégné de celui de son aîné avec qui lequel il a eu l’occasion de travailler.

JJ Abrams réalisateur de Star Wars VII

Passionné par le Star Wars de Georges Lucas dès son enfance (il a 11 ans à la sortie du premier épisode), JJ Abrams a pourtant d’abord refusé de tourner le volet 7 de la nouvelle trilogie. Il préférait être spectateur que scénariste. Kathleen Kennedy, la présidente de LucasFilm, a cependant réussi à le convaincre. Séduit par l’idée que les anciens personnages de la première trilogie Star Wars puissent devenir des héros mythiques de la nouvelle trilogie, JJ Abrams se lance dans l’aventure Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force.

Le scénario de Star Wars VII imaginé par JJ Abrams

JJ Abrams a été perçu comme le réalisateur idéal car il souhaitait renouer avec la trilogie originale et les personnages de Luke Skywalker, la Princesse Leïa ou Han Solo. Mais il avait aussi la lourde responsabilité de lancer une nouvelle saga. Avec l’aide de Lawrence Kasdan, il devait imaginer un scénario permettant d’introduire un nouvel univers, de mettre en place des enjeux et des intrigues qui allaient se prolonger dans les épisodes 8 et 9, dont Rian Johnson serait le réalisateur. Il fallait également que l’histoire du Réveil de la Force se suffise à elle-même. Nous allons donc découvrir sur nos écrans une intrigue se déroulant 30 ans après le Retour du Jedi sorti en 1983 et retrouver Harrison Ford, Mark Hamil et Carrie Fischer. Cela impliquait aussi de trouver de nouveaux jeunes acteurs : la pression était grande pour JJ Abrams car ces héros seraient les mêmes pour les deux opus suivants.

JJ Abrams aux commandes du tournage de Star Wars, épisode VII


Le Retour de la Force a été tourné entre mai et novembre 2014. Il a fallu déplacer les équipes à Abou Dabi dans le désert des Emirats Arabes Unis, sur l’île inhabitée de Skellig Michaël en Irlande et en Angleterre, dans les Pinewood Studios près de Londres. Et le tournage n’a pas été de tout repos ! Après seulement un mois de travail, une partie du "Faucon Millenium", le vaisseau de Han Solo, est tombée sur l’acteur Harrison Ford, lui brisant la jambe. Le tournage a dû être interrompu, permettant cependant à JJ Abrams de faire des remaniements positifs sur le scénario, économisant ainsi du temps sur le montage. Rendez-vous dans votre salle le 16 décembre pour découvrir le résultat sur vos écrans !



mercredi 25 novembre 2015

On les aime, ils nous inspirent : Corentin Fohlen

Article écrit pour le site NR PHOTO et publié le 15 octobre 2015 pour la série "On les aime, ils nous inspirent"

Qui est Corentin FOHLEN ?

Corentin FOHLEN est né en France en 1981, il fait d'abord des études de Bandes Dessinées à Bruxelles avant de se découvrir une passion pour la photographie. Il s'installe alors à Paris et entre dans l’univers du photojournalisme. Il travaille dans un premier temps pour les agences Gamma et Abaca avant de devenir indépendant. Il est maintenant diffusé par l'association Divergence.

Le travail de Corentin FOHLEN

Corentin Fohlen a parcouru la France et le monde entier pour couvrir l'actualité : guerre en Afghanistan, révolution Orange en Ukraineséisme en Haïti, révolutions arabes en Egypte et Libye… 
Il oriente désormais son travail vers des reportages plus documentaires pour raconter des histoires plus longues, notamment en Haïti où il mène "une réflexion sur les conséquences de la mainmise internationale sur le pays".
Corentin Fohlen Egypt   Corentin Fohlen Haïti 2010

Ses récompenses

2015 : 1er Prix du Andrei Stenin International Press Photo Contest, réfugiés centrafricains au Congo
2014 : Prix de la photographie Documentaire, HUMANITY PHOTO AWARDS (HPA), reportage « Canal : un village au Sud-Soudan »
2011 : Prix International PAROLE LIBRE- Club Presse Marseille – « Elections en Haïti »
2010 : VISA D’OR DU JEUNE REPORTER, Perpignan, FESTIVAL VISA POUR L’IMAGE.

En quoi le travail de Corentin FOHLEN vous inspire-t-il ?

J’ai découvert le travail de Corentin FOHLEN dans son reportage en Thaïlande sur les Chemises Rouges dans un magazine. Depuis, j’ai pu admirer ses photos lors du Festival Barrobjectif en 2014 avec son reportage « In the name of Haïti » et en 2015 avec son reportage « Une vie de réfugiés ».
Nicolas Ravinaud Festival Barrobjectif 2015 Corentin Fohlen   Nicolas Ravinaud Festival Barrobjectif 2015 Corentin Fohlen
J’aime son approche narrative dans ses reportages, son sens de la composition et du cadrage. Il a un vrai talent documentaire : il sait créer des images qui parlent d’elles-mêmes, que ce soit sur des sujets légers ou en reportage de guerre.
J’affectionne aussi ses portraits, souvent décalés, mais toujours vrais, où le sujet est figé dans son environnement. Il connaît la manière d’approcher les gens, de se faire oublier, de se fondre pour saisir des images vraies.
Corentin Fohlen MAURICE EMPI artiste-peintre dans son appartement à Paris pour Caroline Gillet sur FRANCE INTER Corentin Fohlen DAVID GUETTA dans sa chambre d'hôtel à Amsterdam pour LE POINT Corentin Fohlen LEYMAH GBOWEE militante pacifiste Libéria prix Nobel de la Paix 2011 LE PÈLERIN

Comment le travail de Corentin Fohlen vous influence-t-il ?

C’est son approche photo-journalistique que notre équipe essaye de mettre en pratique lors de nos reportages corporate mais aussi dans nos reportages de mariage.
Nous voulons créer des images qui racontent des histoires, saisir les moments fortsdécalés, mais surtout vrais.
Pour en savoir plus sur nos reportages de mariage, vous pouvez vous rendre sur notre page dédiée à notre style et notre approche.

jeudi 12 novembre 2015

Écrivain biographe

Qu’est-ce qu’un biographe ?

Le mot « biographe » vient du grec bios, la vie, et graphein qui signifie écrire. Littéralement, un biographe « écrit la vie ».
Un biographe est donc un écrivain professionnel capable de vous aider à relater l’histoire de votre vie et de recueillir vos souvenirs, votre parcours, pour les retranscrire dans un livre. Généralement, ce livre est à destination de la famille et des proches.

Une biographie pour qui ?

Pas besoin d’être célèbre, d’avoir plus de 80 ans ou d’avoir vécu des choses extraordinaires pour faire rédiger sa biographie. Une biographie c’est avant tout un partage avec ses proches et sa famille. Tout le monde peut avoir envie un jour de partager son histoire : mariage, premier enfant, carrière professionnelle, retraite…
Vous avez envie d’écrire pour ne pas oublier ou pour partager vos souvenirs avec votre famille, vos proches ? Le biographe est là pour vous écouter, quelle que soit l’histoire que vous avez envie de lui confier, et pour la retranscrire au mieux afin de la transmettre.

Comment est écrite votre biographie ?

La rédaction de votre biographie est fondée sur des entretiens d’1 à 2H. Chaque entretien est enregistré sur dictaphone. A l’issue de chaque entretien, je procède à la rédaction de quelques pages qui vous sont soumises pour être corrigées et/ou complétées selon vos envies et vos nouveaux souvenirs.
Discrétion assurée : nos entretiens resteront confidentiels, je suis tenue au secret professionnel au même titre qu’un médecin.
Des photos peuvent être intégrées (scannées si besoin) et votre livre sera mis en page, prêt pour l’impression.

Combien coûte une biographie ?

La prestation d’écriture d’une biographie comprend l’entretien en face à face avec enregistrement et la rédaction, mais aussi la relecture et la correction.
Sachez qu’il faut compter environ 2 à 12H d’entretien pour un récit de vie complet, soit 500€ à plus de 3000€ pour une biographie de 50 à 150 pages en moyenne.
Devis sur demande. Les tarifs sont nets : TVA non applicable, art. 293B du CGI.
N’hésitez pas à me contacter pour un devis : je m’adapterai à toutes vos demandes de biographies.